Des cours présentiels pour ceux qui ont besoin d’un suivi minutieux

Si vous n’êtes pas autodidacte et que vous avez du mal à vous appliquer seul dans vos cours : la formation à distance n’est pas faite pour vous. Il faut une certaine organisation pour réussir. Il y a beaucoup trop de liberté. Et tout le monde ne sait pas en profiter à bon escient.
Les cours présentiels ont de toute manière déjà fait leurs preuves. Des années avant le boum du numérique et de la digitalisation, c’était le seul moyen d’apprentissage disponible. Certes, vous devez aménager votre emploi du temps pour suivre les cours, mais au moins vous pouvez profiter d’un suivi minutieux. Ce qui sera le gage de votre réussite.
Sans compter que les cours présentiels peuvent se décliner en plusieurs sortes. Vous avez plus de choix et plus d’experts à disposition.

Les avantages des formations à distance

Par contre si vous savez vous organiser et faire preuve d’un certain sens de la responsabilité dans la gestion de vos cours, la formation à distance peut présenter son lot d’avantages. C’est plus pratique. C’est notamment l’alternative idéale pour entamer un changement de carrière ou simplement pour parfaire vos connaissances sans pour autant quitter votre emploi. Et selon les sondages, les cours de ce genre coutent moins cher que les formations présentielles.
Pour ce qui est de la qualité toutefois, tout dépend de votre centre de formation. Si certains vous assurent un accompagnement professionnel, complet et personnalisé, d’autres sont plus évasifs. Et si certaines formations vous accordent à la fin des certificats certifiés, d’autres se contentent de simples cours. À vous de choisir vos prestataires idéaux, et ce, selon vos possibilités, mais aussi selon les objectifs que vous souhaitez atteindre.

Pourquoi un conseil en orientation scolaire ?

Toute réussite à quelque échelle que ce soit repose sur une bonne connaissance de soi, une confiance en ses capacités ainsi que sur la motivation. Les adolescents sont face à diverses questions fondamentales qui contribuent à bâtir leur avenir. Ils doivent savoir tout d’abord qui ils sont et ce qu’ils veulent pour pouvoir avancer.

Mais à cet âge, il peut être difficile de le savoir. C’est pour cette raison qu’ils ont besoin d’un conseil et coaching en orientation scolaire. Cette branche est souvent composée de psychologues et d’experts en éducation. Lors des entrevues, ils prennent en compte la personnalité ainsi que les spécialités et les matières dans lesquelles ils excellent. C’est en fonction de ces facteurs qu’ils déterminent les divers niveaux d’orientation.

Les métiers et les offres de formation évoluent

Un conseil en orientation est requis étant donné que les filières scolaires sont toujours renouvelées en fonction des tendances et des changements qui se produisent. En parallèle, le monde professionnel est également en perpétuelle évolution et l’on assiste à l’émergence de nouveaux métiers.

Les jeunes doivent donc se confronter à certains défis et jongler avec les changements qui ont lieu afin de trouver la voie qui leur convient. De plus, une spécialisation est mise en place dès le lycée en fonction de la carrière professionnelle envisagée. Donc, la moindre erreur peut faire perdre inutilement des années. Ainsi, les conseillers en orientation scolaire sont là pour conseiller les jeunes sur les options les plus avantageuses et qui leur permettront de se développer et de s’affirmer.

Se démarquer des autres étudiants et avoir de nombreuses opportunités

Maintenant, les échanges internationaux sont devenus une pratique courante dans les formations post bac. De ce fait, les étudiants peuvent profiter des programmes plus simples, comme Erasmus en Europe, pour partir étudier à l’étranger. De plus en plus de grandes écoles supérieures ont effectuées des pactes multilatéraux ou bilatéraux et ont établi des quotas pour envoyer ou recevoir des élèves à l’étranger. Vous trouverez notamment des formations qui durent un semestre seulement, une année complète ou deux années consécutives au-delà de vos frontières. Ces formations vous permettront de vous démarquer des autres étudiants à l’avenir et d’avoir un bon CV pour profiter de grandes opportunités. Néanmoins, pour réussir à se distinguer, il faut privilégier des universités de renom à l’échelle mondial, comme Cambridge, Stanford, Harvard ou encore Oxford.

Bénéficier des formations de haut niveau données par des professeurs reconnues

En poursuivant des études dans une prestigieuse université à l’étranger, vous pourrez profiter des formations données par des professeurs reconnues et obtenir un diplôme de valeur. En effet, ce ne sont pas seulement les étudiants ambitieux qui sont captivés par les universités de renom. Les professeurs et chercheurs expérimentés choisissent aussi ce type d’établissements et la sélection est très rude. Ainsi, les formations sont assurées par des professeurs chevronnés, à l’apogée de leur métier. En même temps, en suivant vos études dans une prestigieuse université à l’étranger, vous pourrez profiter des équipements et installations haut de gamme tels que les laboratoires de recherche qui suivent les normes, le Datacenter, les salles multimédias innovantes, les fablab, etc.

Diplôme pour devenir styliste

Pour devenir styliste, ce ne sont pas les études qui manquent. Elles peuvent aller de Bac pro jusqu’au Bac +5. Voici diplômes pour ce métier :
– Certificat Aptitude Professionnelle Métiers de la mode, qui se prépare 2 ans après la troisième année
– Bac pro-Mode qui dure 3 ans
– BTS Design de mode qui se prépare en 2 ans
– BTS Designer textile qui se prépare en 2 ans
– BTS Métiers de la mode qui dure 2 ans
– Licence pro-Mode, 3 années après le bac
– Master Mode, qui prend 2 ans après la validation d’un Bac +3
– Prépa Stylisme, pour les personnes qui aimeraient une école de mode ou une école de design

Les qualités d’un styliste

Comme mentionné précédemment, le métier de styliste est un métier dans le secteur de la mode, c’est la raison pour laquelle le styliste doit être créatif et innovant. Ses créations doivent évoluer suivant les tendances et les modes de vie. De ce fait, il est dans l’obligation d’anticiper les tendances à venir, aussi bien au niveau des coupes, des matières, des techniques ou des coloris.
L’imagination et la créativité ne sont cependant pas suffisantes. Il faut être vraiment bon au crayon, voire virtuose en dessin, et également maîtriser parfaitement les outils informatiques. Un styliste est une personne audacieuse, passionnée, observatrice, mais surtout une personne méticuleuse. Par ailleurs, dans son métier, il devrait aussi maîtriser la langue anglaise et d’autres langues étrangères, si possible, afin de pouvoir communiquer facilement avec tous les clients du monde entier. Un bon styliste doit aussi être apte à travailler en équipe.

Quelques tendances en 2021

Depuis l’année dernière et plus encore cette année, il a fallu s’adapter en termes de formation et chercher des programmes plus efficaces, plus opportuns. Pour cela, les organisations exploitent l’analytique et les capacités des données, ce qui signifie que l’analyse des données d’apprentissage devient de plus en plus pertinente. Sur la base des histoires de données, aussi appelées datajournalisme, que certaines organisations ont créées, les responsables de formation peuvent plus facilement visualiser ces données et ainsi présenter l’impact des programmes de formation aux étudiants de façon plus convaincante. La demande de formation en Data Literacy, ou culture de données, va augmenter de plus en plus car ceux qui ont la capacité de comprendre, d’interpréter et d’utiliser les données deviendront des profils très recherchés en entreprises.

L’I.A., d’une importance capitale

Bien que l’Intelligence Artificielle n’a rien de nouveau, sa place va devenir de plus en plus cruciale cette année et dans l’avenir. Dans plusieurs thèmes de formation, que ce soit en psychologie qu’en communication d’entreprise ou en commerce, l’I.A. prend et prendra plus de valeur. Les entreprises de formation vont donc devoir se doter d’un système d’apprentissage alimenté par l’I.A. pour que l’apprentissage soit plus attrayant. Ce système d’apprentissage se présente sous trois formes : l’apprentissage personnalisé (qui ne repose pas sur l’I.A.), l’apprentissage différencié et l’apprentissage adaptatif où l’I.A. se sert des données et l’analytique pour un meilleur parcours d’apprentissage.

Qu’est-ce qu’un CPE ?

Le CPE collabore avec les enseignants et s’assure de l’assiduité des élèves. Les missions qui lui sont attribuées peuvent varier selon l’établissement dans lequel il intervient. De base, ce professionnel gère les différentes consignes qui régissent l’établissement et propose également les projets en rapport avec le quotidien des classes. L’animation éducative fait aussi partie des domaines dans lesquels le CPE intervient. Par ailleurs, les élèves se tournent vers lui dans de nombreuses situations comme les retards, les absences, les incivilités, etc. Un CPE gagne normalement un salaire mensuel brut de 1 616 €.

Les études à suivre

Pour devenir un CPE, il faut suivre une formation en Métier de l’Enseignement, de l’Éducation et de la Formation (MEEF) mention encadrement éducatif. Le candidat doit ensuite obtenir son M1 afin de pouvoir concourir au titre de CPE. Ceci étant, il doit effectuer une année en tant que stagiaire durant son cursus M2, et ensuite obtenir son diplôme de Master. Après avoir été titularisé, le candidat pourra exercer son métier de CPE dans un établissement. Le métier de CPE permet d’évoluer progressivement en grade ou de prétendre au titre d’inspecteur de l’éducation nationale ou en chef d’établissement.

Concours pour devenir CPE

Le concours a lieu tous les ans. Il se divise en deux épreuves écrites et deux épreuves orales. La première épreuve écrite consiste en une dissertation sur des questions relatives à l’éducation. La deuxième épreuve est une étude de dossier mettant le candidat à l’épreuve sur ses connaissances du système éducatif. Il y a ensuite les épreuves orales qui sont composées d’une étude de cas en 45 minutes et d’un entretien en 30 minutes. Pour réussir le concours et exercer ce métier, il faut avoir des notions en psychologie, savoir improviser et avoir des nerfs solides.

Existence de débouchés variés

Si vous avez la chance d’étudier dans une école de commerce, l’un des avantages est bien entendu l’existence de débouchés variés dans tout type d’entreprise. Après une formation généraliste, vous pouvez par la suite vous spécialiser dans un domaine comme les finances, le marketing, les ressources humaines, la communication, la négociation client, le management ou encore le commerce international.

Perspective de carrière à l’international

Avec la mondialisation, il est possible que vous partiez travailler à l’étranger. Pour une personne qui possède un double diplôme, elle peut chercher directement un emploi dans le pays où elle a étudié. Dans cette perspective d’emploi à l’international, bon nombre d’écoles réalisent des partenariats avec des établissements de pays européens. Par ailleurs, les cursus proposent des mois de stages internationaux. Pour ceux qui ne savent pas ce qu’ils vont faire après le bac, intégrer une école de commerce reste un excellent choix.

Niveau cadre pour un premier emploi

Il faut savoir que l’embauche des jeunes diplômés débute la plupart du temps à un niveau cadre. Cela dit, votre premier emploi peut être un poste à responsabilité. Avec un poste de manager, vous serez amené à diriger de gros projets. Pour un premier emploi, vous pouvez gagner entre 25 000 et 35 000 euros annuels. Ceci dépend entre autres de la notoriété de votre école, de la qualité de vos stages, de votre région ou encore du type de poste.

Parcours sur mesure

Si vous avez déjà un projet en tête avant d’intégrer une école de commerce, il est possible pour vous de s’orienter à un parcours permettant de concrétiser votre objectif. Le choix de la spécialisation est souvent plus aisé avec un niveau bac +2 qu’avec un niveau bac. Vous pouvez aussi faire des stages dans ce secteur ou en décrocher des diplômes complémentaires de troisième cycle (Master ou MBA). Cela permet de mettre toutes les chances de votre côté pour trouver un emploi qui vous convient le mieux.

Le GPA, le SAT/ACT, l’anglais et la qualité d’essai

Le grade point average ou GPA est la moyenne générale. Il prend la forme d’une note sur 4. Sachez que les universités américaines calculent les notes des étudiants français en vue d’obtenir cette moyenne cumulative pondérée. Vous pouvez également le faire vous-même, si vous envisagez de postuler dans l’une des universités aux États-Unis. A ce titre, il faut passer deux tests standards, dont le SAT/ACT. Vérifiez tout de même, car ils ne sont pas exigés dans certains établissements pour les étudiants internationaux. Si vous voulez poursuivre vos études en Amérique, la maîtrise de la langue anglaise est importante. Il faut passer par un test pour connaître le niveau d’anglais des candidats. Il s’agit du TOEFL ou encore de l’IELTS. Cela ne devrait pas vous poser un problème et vous empêcher d’être admis. Vous pouvez toujours étudier aux États-Unis même avec un niveau d’anglais plus faible. Pour l’essai ou « Personal Essay », vous devez rédiger minutieusement cette lettre pour convaincre l’établissement de vous accepter au-delà de votre parcours.

Les lettres de recommandation, les activités extrascolaires, les actes bénévoles, etc.

Dans la plupart des cas, si vous vous postulez via la Common Application, il faudra fournir au moins une lettre de recommandation. Celle-ci est à obtenir auprès de votre enseignant principal ou d’autres professeurs. La majorité des universités américaines accordent une grande importance aux activités extrascolaires. En effet, elles cherchent à accueillir des étudiants actifs sur leur campus. Ils pourront ainsi s’investir dans des clubs ou intégrer une équipe sportive de haut niveau. Si vous avez reçu des récompenses pour votre talent particulier, tel que le sport, la musique ou encore la math, ce serait un véritable atout pour votre candidature. Puis, votre caractère compte beaucoup. Et si vous avez fait des activités bénévoles et d’autres expériences professionnelles, cela va augmenter votre chance. Enfin, les établissements universitaires américains demandent aux futurs étudiants de renseigner leur religion ainsi que leur origine ethnique. Ce qui reste interdit en France. Heureusement, cela ne concerne pas vraiment les candidats internationaux.